Depuis les grosses hausse du prix dans les années 2000, je comprends pas comment les jeunes arrivent à commencer à fumer.
Je sais pas à combien est le paquet aujourd’hui, mais sur un budget de lycéen.e.s/étudiant.e.s, trouver 5-10 balles pour un paquet de clopes c’est pas évident surtout quand c’est plusieurs fois par semaine.
Excellente nouvelle, la cigarette est vraiment un fléau.
Ça pue, c’est cher, rouler les pelles avec un fumeur est dég, ça reste dans les murs il y a des effets secondaires pour les habitants pendants des années, effectivement, c’est un fléau.
Ici en Allemagne, le nombre de jeunes qui fument est en augmentation. Quand j’étudiais il y a environ 10 ans, fumer n’était pas cool. Aujourd’hui, presque tous les étudiants ici dans l’entreprise fument.
C’est dommage et je crains que la légalisation du cannabis ne réduise pas ce phénomène.
Je ne connais pas le système allemand, mais peut-être qu’une grosse campagne de sensibilisation pourrait aider ?
Les mesures actuelles sont des prix élevés et des images dissuasives sur les emballages. De plus, aucune publicité publique ne peut être faite. Mais ça ne change rien.
Quelle mesure était la meilleure en France ?
Ca date d’il y a longtemps l’interdiction de la pub? maintenant que tu le dis ca fait un moment que j’en ai pas vu.
Je ne l’avais plus en tête et j’ai trouvé ceci : "Depuis 1975 déjà, il n’y a plus de publicité pour les cigarettes à la télévision et à la radio. Le parrainage d’émissions télévisées a pris fin en 1999. Trois ans plus tard, le législateur a également banni les clips de fumeurs romantiques autour de Marlboro Man et des jeunes filles Gauloises aux cheveux hirsutes et lascifs des cinémas, du moins des projections avant 18 heures. Selon la législation européenne, la publicité pour le tabac ne peut plus apparaître dans les produits imprimés depuis 2007.
Depuis janvier 2022, il n’y a plus de publicité extérieure aux arrêts de bus ou sur les panneaux d’affichage, cela vaut également depuis 2023 pour les réchauffeurs de tabac et à partir de 2024 pour les cigarettes électroniques."
Oh, j’avai été choqué par les affiches en arrivant, mais j’avais jamais remarqué qu’elles existaient juste sur les arrêts de bus et les affiches, merci pour la précision!
arrêter la pub de clopes ca peut aider aussi. Elles sont en général plutôt dirigées vers les ado/jeunes adultes.
Je l’ai peut-être manquée après une lecture rapide de l’article, mais quid de la cigarette électronique ? Les fumeurs de c. é. sont ils d’ailleurs considérés comme fumeurs ou non-fumeurs dans les statistique évoquées ?
Il y a donc un recul de toutes les consommations de substances psychoactives à cette âge», signale Ivana Obradovic qui pointe néanmoins que la cigarette électronique (avec ou sans nicotine) échappe à cette tendance, elle qui jouit sans doute aujourd’hui d’un glow marketing important. Cigarette électronique dont l’usage juvénile ne semble pas, par ailleurs, participer à la baisse du tabagisme, les deux tendances paraissant indépendantes.
Ils ne sont pas comptés et c’est le seul usage qui monte.
C’est con que ça ne soit pas compté a aura pu permettre de mettre (ou non) un système vases communicants avec tout les “anciens fumeurs” qui passent dedans (pour arrêter progressivement) ou qui y restent (“par ce que tu comprends maintenant y’a plus que ma nicotine chérie”)
Merci, j’avais manqué l’info… Je suis un peu étonné de la l’indépendance des deux tendances, car dans mon expérience personnelle, la cigarette électronique s’associe systématiquement au tabagisme : soit en remplacement (chez un ancien fumeur), soit simultanément (en général la c.é. et une cigarette de temps en temps). Je ne connais pas de fumeurs de c.é. qui ne soient pas (ou n’ai jamais été) fumeurs.
Ils parlent de la cigarette électronique dans la deuxième partie de l’article :
«On observe une baisse des usages concernant toutes les drogues: alcool, tabac et drogues illicites, notamment le cannabis qui, à 17 ans, est la plus couramment consommée. Il y a donc un recul de toutes les consommations de substances psychoactives à cette âge», signale Ivana Obradovic qui pointe néanmoins que la cigarette électronique (avec ou sans nicotine) échappe à cette tendance, elle qui jouit sans doute aujourd’hui d’un glow marketing important. Cigarette électronique dont l’usage juvénile ne semble pas, par ailleurs, participer à la baisse du tabagisme, les deux tendances paraissant indépendantes.