Alexandre Portier a affirmé mercredi 27 novembre que le programme n’était pas en l’état « acceptable », qu’il était hors de question de « laisser faire n’importe quoi » et qu’il s’engageait, comme « élu et père de famille », à ce que la « théorie du genre » n’ait pas « sa place à l’école ». Et le cabinet de la ministre d’utiliser les mêmes termes, dans les éléments fournis dans la foulée à la presse, ce vocable de « théorie du genre » pour justifier les « modifications » qui seront bientôt opérées sur le programme.

La « théorie du genre » est l’un des totems préférés de la droite dure et de l’extrême droite depuis plusieurs années. Ce concept, jamais sérieusement défini, charrie toute une série de paniques morales autour de la sexualité et de l’identité, et sert le plus souvent de paravent à une homophobie, une transphobie et un sexisme décomplexé.

« L’idée est de faire croire qu’en parlant d’identité de genre, d’égalité fille-garçon, de sexisme ou encore de discrimination homophobe ou transphobe à l’école, on essayerait de pousser un agenda pour transformer les enfants en de parfaits petits LGBT, c’est n’importe quoi », s’indigne James Leperlier, du mouvement Inter-LGBT,

  • Mely_Sans_Dr(e)@jlai.lu
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    28 days ago

    L’impact ? La vie dure pour les personnes concernées car avec ces discours etc, chaque personne peut se sentir tout permis à nos égard