Super infographies, et chiffres affligeant.

Au passage on voit très bien l’inflexion a la période Chirac / Sarko premier ministre ou la police de proximité a été supprimée et les recrutements PN modifiés en faveur de profils plus agressifs.

  • ortaviz@lemmy.ca
    link
    fedilink
    arrow-up
    3
    ·
    1 year ago

    Je le trouve très orienté Critiquer ceux qui l’appliquent (dans qu’ils restent dans la cadre) n’est pas utile.

    Tu ne peux pas analyser ces faits en te basant uniquement sur la loi, et faire comme si les hommes et femmes qui portent les armes n’avaient pas d’influences extérieures, de culture professionnelle, de préjugés hérités de leur prédécesseurs etc.

    En l’occurence on oublie un peu vite qu’il n’y a pas si longtemps un groupe de discussion raciste, sexiste et homophobe de 8000 policiers avait été révélé par Mediapart, que ce n’est pas le premier du genre, et qu’il y a quelques livres écrits par d’ancien flics qui ont quitté le milieu à cause du racisme. Ça fait des années que ça dure. Oublier tout ça c’est aussi être un peu orienté.

    • Sup74oo@lemmy.world
      link
      fedilink
      arrow-up
      2
      ·
      1 year ago

      J’oublie rien de tout ça, mais dans chaque exemple cité dans l’article, nous n’avons ni le passif du policier ni celui de l’autre partie. Lors de son intervention, ça m’étonnerait qu’une des deux parties se lance dans un règlement de compte sur la base de l’origine ou des idées de l’autre.

      Le tir ça reste un instant fugace.

      Mon raisonnement est le suivant, le policier se lève pas en disant je vais buter un maghrébin aujourd’hui. Et la personne en face se dit pas je vais buter un flic.

      Pour moi tout ceci est un enchaînent de cause/conséquence lié au stress et à un contexte. Et il est trop facile de se baser sur l’instant de la « bavure » pour juger l’ensemble de la vie d’une personne. C’est pour ça que j’attends les résultats d’une enquête, et que je me plie à la vérité judiciaire.

    • Sup74oo@lemmy.world
      link
      fedilink
      arrow-up
      2
      ·
      1 year ago

      J’oublie rien de tout ça, mais dans chaque exemple cité dans l’article, nous n’avons ni le passif du policier ni celui de l’autre partie. Lors de son intervention, ça m’étonnerait qu’une des deux parties se lance dans un règlement de compte sur la base de l’origine ou des idées de l’autre.

      Le tir ça reste un instant fugace.

      Mon raisonnement est le suivant, le policier se lève pas en disant je vais buter un maghrébin aujourd’hui. Et la personne en face se dit pas je vais buter un flic.

      Pour moi tout ceci est un enchaînent de cause/conséquence lié au stress et à un contexte. Et il est trop facile de se baser sur l’instant de la « bavure » pour juger l’ensemble de la vie d’une personne. C’est pour ça que j’attends les résultats d’une enquête, et que je me plie à la vérité judiciaire.